Gabrielle d’Haraucourt to Martha Jefferson (Randolph), [ca. 1789]
jai véritablement une grande obligation au perce oreille ma chére petitte amie qui ma procurée le plaisir de recevoir de tes nouvélles. Sans lui je crois à te parler vraie que jaurois été long tems Sans en apprendre. Il S’en faut bien que jaye pour toi la même indifférence, et je peux tassurer du...