Amelie de Monville to Martha Jefferson (Randolph), [ca. 1787]
Je m’empresse de répondre au désir que tu as la bonté de me témoigner de recevoir tout de suite de mes nouvelles, je suis charmée d’apprendre par la tienne les circonstances qui m’ont privée de la recevoir plutôt, et que ton amitié pour moi n’est pas changée plus que la miene à ton égard, je me...